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dimanche 23 juin 2013

ISLANDE JUIN 2013 - JOUR 8 - AKUREYRI-REYKJAVIK (430 km)


Une longue étape nous attend aujourd’hui encore quand nous quittons Akureyri sous la pluie. 

On a vu des petits enfants de maternelle en laisse au Canada, ici ils sont véhiculés en carriole !


Des volcans, encore des volcans, toujours des volcans !



Varmahlíð :
A quelques kilomètres de la ville en quittant la route principale, nous visitons la ferme Glaumbær, avec ses murs et toits de tourbe, transformée en éco-musée.





Le manque de bois de chauffage et de construction a contraint les Islandais des siècles passés à enterrer leurs fermes et rétrécir la taille des fenêtres.
La famille du fermier et les domestiques dormaient, mangeaient et travaillaient dans la même pièce, assis sur leur lit qu'ils partageaient souvent à deux. Les femmes dont les travaux de couture et de filage requéraient plus de lumière étaient du côté des fenêtres tandis que les hommes cardaient la laine ou faisaient des cordages. Les objets personnels cachés sous l'oreiller y étaient autant en sécurité que dans un coffre-fort grâce au respect et au code de conduite obligatoire pour vivre sans heurts dans une telle promiscuité.

Blönduós :
Nous prenons de la hauteur pour un coup d'oeil panoramique sur la ville. 


Sous le soleil revenu, nous stoppons dans cette ville pour un pique-nique au supermarché. Tout près, nous passons devant cette église moderne en forme de volcan.



Grábrók :


Nous commençons l’ascension sous un ciel menaçant, interrompue rapidement par une grosse averse qui curieusement nous aura moins mouillés que le crachin des jours derniers.




Pour gagner une cinquantaine de kilomètres, nous passons sous le Hvalfjörður par un tunnel à péage de 6 km


A l’approche de la capitale, la circulation devient nettement plus dense. Depuis Akureyri, la route de ceinture (n° 1) est plus large que dans le sud et dans l’est. Partout asphaltée, et ses ponts sont tous à double voie.

Reykjavik :

Nous y dormons deux nuits. Excentré, vu de l’extérieur, l’Hôtel 66 ne paie pas de mine. Manque de mieux compte tenu de notre budget, j’y ai réservé une chambre minuscule avec des lits superposés et pas de salle de bain ni toilettes sinon sur le palier. Le gérant nous propose pour le même prix une vaste chambre avec non seulement une salle de bain/WC, mais aussi une cuisine. Quelle bonne surprise, ça c’est un véritable surclassement !

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